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Abitibi-Témiscamingue

On décroche?

Nous vous invitons à venir plonger avec nous dans le ciel immense de l’Abitibi-Témiscamingue pour vous émerveiller de son reflet dans plus de 22 000 lacs et rivières. Ici, vous pourrez vous laisser surprendre par un paysage éblouissant et perdre le souffle un instant devant la beauté d’un crépuscule ou d’une aurore boréale. Ici, avec une créativité qui rejoint la démesure de nos ciels, nous fabriquons une fierté aussi profonde que nos lacs. Les gens sont chaleureux, passionnés. Ici, vous êtes les bienvenus.

  • Superficie : 57 349 km2
  • Villes principales : Rouyn-Noranda (41 927 habitants), Val-d’Or (32 723 habitants), Amos (12 778 habitants), La Sarre (7 511 habitants), Malarctic (3 390 habitants)

Pour plus d’informations : Tourisme Abitibi-Témiscamingue

Économie

  • Agriculture, pêcherie et alimentation : la production bovine fait partie du créneau d’excellence « Agriculture nordique axée sur la production bovine »
  • Ressources naturelles : agricoles, forestières, minérales et hydriques
  • Industrie minière : gisements de cuivre, de zinc et de nickel, métaux précieux, fonderie
  • Secteur manufacturier : entreprises de bois de sciage, des pâtes et papiers et de la fabrication de produits en bois
  • Centrales hydroélectriques et thermiques

Pour plus d’informations sur l’économie : Services Québec

Caractéristiques

  • 147 700 Habitants
  • Forêt
  • Kayak
  • Pêche
  • Randonnées
  • Vélo

Cégeps dans cette région

Étudiante au baccalauréat économique et social, Jeanne a décidé d’aller de l’avant avec une demande d’admission, prête à vivre l’aventure d’étudier au Canada. « Quand j’ai été admise, je ne me posais plus de questions. Partir vers l’inconnu, il ne faut pas trop y penser. (…) Je suis allée voir où c’était l’Abitibi-Témiscamingue, j’ai fait des recherches, j’ai trouvé la nature, les paysages. Je me disais que ça ferait changement! »

Quand, en cours de route, la nature administrative du voyage a embrouillé les plans, Jeanne a pris la réelle mesure de son intérêt. « Mon passeport n’était plus bon et c’est à ce moment-là que j’ai réalisé que je voulais vraiment partir, que ce projet était devenu le plus important pour moi. »

L’idée de laisser sa famille et ses amies derrière elle a tout de même fait naître quelques inquiétudes, vite dissipées. « J’avais peur de ne pas aimer les études, ou encore, je disais à ma mère : Imagine si je ne me fais pas d’amis? » C’était sans compter sur l’accueil légendaire des Témiscabitibiens qui ont fait de Jeanne, moins de trois mois après son arrivée, l’une des leurs à part entière.